IPCRM
Section: Manuel de l'utilisateur Linux (8) NOM SYNOPSIS DESCRIPTION OPTIONS NOTES VOIR AUSSI TRADUCTION NOM
ipcrm - Supprimer une file de messages, un jeu de sémaphore ou un segment de mémoire partagée.
SYNOPSIS
ipcrm
[
-M
key
|
-m
id
|
-Q
key
|
-q
id
|
-S
key
|
-s
id
] ...
utilisation déconseillée ipcrm [ shm | msg | sem ] id ... DESCRIPTION
ipcrm
supprime des objets de communication entre processus (IPC) Système V et les
structures de données associées définis sur le système.
Afin de les détruire, vous devez être Super-Utilisateur, le créateur ou le
propriétaire des objets.
Les objets IPC Système V sont de trois types : mémoire partagée, file de messages et sémaphores. La suppression d'une file de message ou d'un ensemble de sémaphores est imédiates (même s'il y a des processus qui disposent d'un identificateur sur l'objet). Un segment de mémoire partagée n'est seulement supprimé qu'après que tous les processus ont détaché (shmdt(2)) l'objet de leur espace d'adressage virtuel. Deus syntaxes sont supportées. L'ancienne syntaxe historique sous Linux utilise un mot-clé de trois lettre indqiuant la classe de l'objet à supprimer, suivi d'un ou plusieurs identificateur d'objet IPC de ce type. La syntaxe compatible SUS autorise la spécification de zéro, un ou plusieurs objets des trois types en une seule ligne de commande ; les objets étant repérés par leurs clés ou leurs identificateurs. (Voir plus bas). Clés et identificateurs peuvent être spécifiés en décimal, hexadécimal (commençant par '0x' ou '0X'), ou octal (commençant par un '0'). OPTIONS
Les détails des suppressions sont décrits dans msgctl(2), shmctl(2), et semctl(2). Les identificateurs et clés sont visibles avec ipcs(8). NOTES
Dans sa première implémentation sous Linux, ipcrm utilisait la syntaxe
déconseillé que nous avons vue dans
SYNOPSIS.
Les focntionalités présentes dans d'autres implémentations Unix d'ipcrm ont
été ajoutée depuis, par exemple la possibilité de supprimer une ressource par
sa clé (et pas uniquement son identifieur) en gardant une compatibilité
de la ligne de commande avec la précédente syntaxe.
VOIR AUSSITRADUCTION
Christophe Blaess, 2003.
|